Vite, vite, avant qu’il s’envole!
J’étais en train d’arroser les érables en pot quand j’ai aperçu ce papillon que je ne connaissais pas!
J’ai appelé mon chéri pour qu’il accoure avec l’appareil photos muni de l’objectif macro.
On a ainsi pu identifier la Zérène du groseillier!
Mâle ou femelle, je n’en sais rien car ils sont semblables!
Le dessus des ailes est blanc à taches noires. Sur les antérieures on observe 2 bandes jaune orangé. Le corps est orangé.
D’après Wikipedia, on l’observe dans les jardins, prairies, haies et lisières de forêts, en mai, pendant la journée, au crépuscule et en fin de nuit.
Il est déjà loin le mois de mai mon cher! Vous êtes en retard!
Son nom vient du fait que les groseilliers sont des plantes hôtes des chenilles, ainsi que les aubépines, prunellier et fusain.
Il n’y a qu’une seule génération par an. La femelle pond les œufs sous les feuilles, en été. Les jeunes chenilles passent l’hiver. La nymphose a lieu en mai dans un cocon lâche sur la plante hôte.
Quelle beauté !
Il est bien joli, mais je ne l’ai jamais vu dans ma région!
Je ne le connaissais pas, mais il a une jolie robe !